Gynéco-obstétrique
Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) : risque cardiovasculaire augmenté
Le syndrome des ovaires polykystiques (SPOK) toucherait entre 6 et 20% des femmes en âge de procréer. Or, il augmenterait le risque cardiovasculaire.

Le syndrome des ovaires polykystiques (SPOK) toucherait entre 6 et 20% des femmes en âge de procréer. Or, il augmenterait le risque cardiovasculaire.