Le suivi de 247 420 Suédois souffrant d’un TDAH et traités entre 2006 et 2020 confirme que les psychostimulants réduisent en vie réelle les auto-agressions, les blessures, les accidents et les délits. Néanmoins, l’amplitude de protection semble diminuer au fil des années, à mesure que la prescription s’étend à des patients moins sévères.