Chez des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde ancienne en rémission sous biothérapie par tocilizumab ou abatacept, l’espacement des doses est associé à plus de rechutes mais moins de complications infectieuses. La prescription des biothérapies avec des doses à la baisse, ajustées sur les taux sériques, pourrait être plus pertinente que l’espacement des doses.